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la disposition de tous, c’est caresser une Utopie facheuse. 
La division des occupations n’est pas moius uecessaire dans 
cet ordre de travaux que partout ailleurs. 
Cest surtout sur un des moyens d’assurer l’accomplisse- 
rnent de la mission des stations de recherches qu’a porte la 
discussion au congres de Vienne. Dans le but de concentrer 
les efforts vers une action commune, MM. Zöller et Haber- 
landt (Vienne) se sont attaches ä faire ressortir l’utilite de 
l’existence dun reseau de stations ajant pour but detudier 
simultanement les questions choisies par un pomite direc- 
teur dont feraient necessairement partie les chefs des insti- 
tutions. Celles-ci seraient donc constituees en une federa- 
tion quant ä certaines .täches determinees. Jusqu’ici les 
stations ont fourni un notable contingent de faits nouveaux 
ä la Science; mais parfois aussi, il s’est produit des contra- 
dictions qu’il faut chercher ä eviter en les soumettant a un 
regime de recherches uniformes et en dotant les contrees 
encore depourvues d’etablissements de ce genre. Au surplus, 
entreprises dans des conditions de sol et de climat tres- 
variees, les recherches otfriraient un interet general et une 
portee qui font defaut aux essais locaux. L’institution, dans 
son ensemble, aurait alors une autorite dont les travaux et 
les enseignements otfriraient une haute confiance. 
•Le professeur D 1 ' Nobbe (Tharand), l’habile inquisiteur 
du commerce des semences en Allemagne, justiße par des 
faits nouveaux la necessite de contröler severement le degre 
de purete et la faculte germinative des graines offertes ä