au courant de cet idiome et du i'rangais ou de Fanglais, fit
une traduction sommaire de ce que Fun ou l’autre des
orateurs venait de dire dans la langue officielle de la discus-
sion. De lä des debats lents, embarrasses, et une nouvelle
perte de temps. Ces diverses circonstances amenerent le
jury a reconnaitre, des les premiers jours, qu’il lui serait
totalement impossible de prendre connaissance des Ihres
autres que les livres scolaires proprement dits et meme
d’examiner serieusement les nombreux portefeuilles conte-
nant des travaux d’eleves, feuilles de dessin ou d’ecriture,
cahiers de devoirs, ouvrages d’aiguille, etc.
Car la France seule avait produit des travaux d’bleves
fournis par plus de 200 bcoles primaires, outre ceux
qui provenaient d’une foule d’etablissements d’instruction
moyenne, d’ecoles professionnelles, commerciales et autres.
Enfin, les documents officiels concernant Forganisation de
Finstruction publique dans les divers pays exposants, le jury
n’a pu les examiner que tres-sommairement, vu F extreme
insuffisance du temps assigne a ses travaux.
II. — Ce qui resulte de l’Exposition universelle de
Vienne pour l’amelioration et le perfectionnement
de l’instruction primaire. — Methodes.— PROCflüfiS.
— Meubles et appareils nouveaux.
Avant meine que FExposition universelle de Vienne füt
officiellement ouverte, on avait dejä cru pouvoir en deter-