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de n’etudier les deux. methodes que dans leur etat le plus 
complet de boniie installation. La diffusion a eu sa periode 
d’essais et de tätonnements; eile exige des soinS atten- 
tifs et une pratique süre; de plus, eile a trouve des son 
debut, a cöte de partisans convaincus, des adversaires 
ardents (1). 
Mieux vaut donc se borner ä citer des faits et des chiffres. 
A l’Exposition de Vienne, l’Autriche avait 79 exposants. 
En retfanchant 3 raffineurs et le laboratoire central, nous 
trouvons 3 fabriques exploitant des procedes particuliers, 
41 travaillant au moyen des presses, 29 par la diffusion et 
2 utilisant a la fois l’une et l’autre de ces dernieres 
methodes. 
En Allemagne, sur 69 exposants, 29 se serveht de 
presses, 16 ont adopteia diffusion et les 26 restants, parmi 
lesquels 6 raffineurs et un laboratoire, travaillant par 
differents procedes. 
Entin, nous allons faire connaitre deux tableaux indiquant, 
Tun, le nombre de fabriques faisant usage de la diffusion, 
l’autre, les progres de cette methode depuis 1865 jusquen 
1873. 
(1) Un ouvrage, traitant parfaitement ce sujet et ^crit en allemand, a <5td publid 
rdcemment. Voici la traduetion du titre : Les mähodes dextraction du jus par la diffu 
sion, au point de vue technique ei chimique, par Ferdinand Jicinsky, avec gravures sur 
bois et alias de 14 planches. Leipzig, 1814.