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rence, et quici, plus que jamais, le succes appartiendra au 
plus intelligent et au plus actif. 
Chaque jour on invente des outils nouveaux pour couper, 
naesurer, plier. Ces machines-outils economisent le temps et 
la mäin-d’oeuvre. L’outil execute avec plus de precision et 
il debite l’etotfe de maniere ä utiliser les moindres dechets. 
Le goüt est encore ici une condition essentielle de succes, 
surtout en ce qui concerne les cols et les nceuds pour dames. 
La fabrique de M. Theophile De Bruycker, a Bruxelles, 
reunit toutes ces conditions de succes. Independamment 
de coupeurs experimentes pour les articles de fantaisie, 
M. De Bruycker a deux machines ä couper les cravates, qui 
sont, en tres-grande partie, de son invention. Une machine ä 
couper les faux-cols et de nombreuses machines a coudre 
completent un outillage perfectionne et qui permet de faire 
bien et ä bas prix. 
Les cravates pour dames ont ete'jugees de tres-bon goüt 
et peuvent soutenir la comparaison avec ce qui se fait de 
mieux ä Paris. En resume, l’industrie de M. De Bruycker est 
importante par le nombre d’ouvriers qu’elle emploie, par le 
chiffre d affaires que represente la vente de ses produits et 
par la qualite superieure et la variete des articles de fan 
taisie. La medaille decernee par le jury de Vienne consacre, 
une fois de plus, le merite du fabricant qui a cree cette nou- 
velle branche d’mdustrie a Bruxelles, et qui, chaque jour, 
voit s accrodre sa clientele, malgre la concurrence des 
articles de Paris et malgre leprejugede superiorite que Ton