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Volltext: France - Commission supérieure: Rapports - Exposition Universelle de Vienne en 1873, Tome V

EXPOSITION UNIVERSELLE DE VIENNE. 
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rainc a Nancy, ont ete classds en prcmiere ligne, et le Jury des beaux-arts 
a vivement regrette que son regiement constitutif ne lui pernht pas d’ins- 
crire le norn de M. Boeswillwald sur la liste des distinctions dont il avait a 
disposer. 
Signaions encore la mise hors concours de deux autres membres de la 
Commission des monuments historiques, par suite de leur ddsignation 
comme membres du Jury international : celle de M. Eugene Millet, l’ha- 
bile architecte chorge de la restauration du chäleau de Saint-Germain, et 
dont les beaux dessins de l’eglise de Chäteauneuf ne pouvaient passer 
inaperous; et celle deM. Bailly, dont les etudes du palais du Tribunal de 
commerce, executees pour le compte de la ville de Paris, figuraient dans 
l’exposition municipale, et que son acceptation des fonctions de Jurd au 
vingtieme groupe, celui du mobilier et des habitalions rurales, excluait 
egalement du droit de participer aux recompenses. 
En dehors de ces quatre mises hors concours s’appliquant a des ouvrages 
expos^s par des membres de la Commission, si nous examinons la liste 
des quinze medailles attribuees ä des ceuvres produiles par les architectes 
cbarges de la Conservation des monuments historiques, nous y trouvons 
les noms de MM. Questel, Henri Labrouste, Imisne, Denuelle, Bu 
prich Robert, Viollet-le-Duc et Vaudoycr, tous membres de la Com 
mission. 
L’amphitheatre et le theälre d’Arles, le pont du Gard restaure en colla- 
boration avec M. Laisne, le temple d’Auguste et de Livie ä Vienne (Isere), 
l’eglise Saint-Martin-d’Ainay ü Lyon, ont ete specialement confies aux 
soins de M. Ouestel; trois grands cadres exposes a Vienne presentaient les 
etudes de la restauration de ces precieux monuments, faites par le savant 
arcbilecle dont les soins intelligents et la vaste erudition ont si bien con- 
tribue a la Conservation des monuments de l’art antique et du rnoyen äge 
que possede le midi de la France. 
L’exposition de M. Henri Labrouste ne relevait pas du domaine des 
Monuments historiques, mais de celui des Travaux puhlics, et ses etudes 
surla Bibliotheque nationale et celle de Sainte-Genevieve lui avaient valu 
la medaille conferee par le Jury international. Bien que ces travaux soient 
hors de notre cercle, il nous sera permis de rappeier en quelques lignes 
la memoire d’un collegue dont la perle toute recente laisse un grandvide, 
non-seulement dans la Commission des monuments histori(|ues dont il 
faisait partie depuis de longues annees, mais dans l’enseignement de l’art 
dont il etait l’un des maitres les plus apprecies. Parmi les hommes.qui 
font aujourd’hui a juste ihre aulorite dans Tarchilecture, nous en trou 
vons Ires-peu qui n’aient etudie a son t'cole, et nous pouvons aflirmer,
	        
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