MAK

Volltext: France - Commission supérieure: Rapports - Exposition Universelle de Vienne en 1873, Tome IV

E\W CAITER'ELLE »E MIEA'VE. 
äli 
te*r jfWw. rtt p**»*»! |ij®* iwÜMbMfed An* tn*|«»ai]i«e*_ |.s w* q»e lc» A*- 
mmee* «Ml oowrt**. Mais-. dTaatre jwirt. le* tannn « dfafmleat I#» «nulr*» 
Mi fcnles par faitrail <Tsi fort salair*. *4 1«- »triliers tenAnl ä mir d* 
heu oe hem* les eriiants a ja ciasse. Je ne erots pa* qnc le* tr'Sr-grande* 
rille* soienl ä eet egard les Jieui oä la sarveiUaaoe puisse etre Ja plus 
effieaee, ni ceoi ou les ^nfaote vienneoi le piu~ regulieranent ä Perole <4 
v rezent Je plus loogiemp*. \ou* sarons qaelle* soat, ä «1 egard. I« 
plaintes da direeteur de lenseigmmcnt primaire da departemeai de la 
Seine; raous aroo* in qaelelail foul reeemment l etal de quelque*-ane*des 
eite* de 1'AngleteiTe el de ITvosse. el dans le ran ton d< Berne, eoatree 
pvesqae touie rurale. neu* aiorts trome proportionDeUeroenl bien moins 
deafanis frequenlaiil Je* ecole* de Ja vilJe que celle* de* Campagne*. 
4‘ Le* nation*, qoelJe* q»e «oieni Je* d/ßerenr-e* qui Je* *epartmi. 
onl laute* an trmt connnun; la «uilicitudc qie- Je»r insjiire aiqottrcTbui 
rinatroetinii pupuiurrc el Je* eßorts qu «He* Juni [o«m I •'•‘naflrr II n «u e«t 
na* mir pinnt unwi dir« qui_ Apait* <ta an* v'uk jpn* i »«1 «g*tii quelque 
■hhm: inporuuii/‘„ wia; un« H«L aßinmi wm iiutget. r«niir« iÜe aiaiwtuiK 
ovgi«numii* «a, tbnde du aumbreiiwet wiife. 
Heiles qm e latent en avaat n ont pns et»; .es mom» aetives ; lii Seindi- 
aavie traiislorme ses ecoles ambulante» en cooles Hxes: la Stusse fait des 
lots nouvelles et unpose partout l’obligation: FAHemngme multiplie les 
cooles de repetition et en rend la frequentation obligaioire: les Etate-Lnis 
prodiguent les millions. 
La pJupart de celles qui etaient en andere snppliquent a gagner du ter- 
rain ; l ltalie, la Hussie, la Hongrie, le Japon meine, sont aujourcTkui au 
nombre des plus ardentes: de l’autre cöte de l’Atlantique, les republiques 
riveraines de Ja Dlata comprennent qu’il faut ouvrir des ecoles pour attirer 
Immigration; l’Egypte rneme cherche a instruire sa population niusiilmane. 
C’est un signe du temps: la dillusion de l’instruetion primaire est un des 
caracteres, disons mieux, un des bienfaits et une des necessitds de nofre 
civilisation moderne. 
8° La fondation des ecoles primaires est—el le unc alfaire de gouverne- 
ment, ou doit-elle etre abnndonnee au zele des particuliers et des assoria- 
tions libres? Dans tous les pays dont l’instruction primaire est avancee, et 
dans presque tous les pays civilises, on en a fait une n Hai re de gouverne- 
rnenl. Tres-rarement l’Etat Supporte la majeure partie des frais; la depense 
est faite par les cotnmunes, avec assistance, dans une mesure restreinte 
et dans des cas determines, de In province, du departement ou de l’Etat; 
au fond, untre Systeme franfais ne dilfere pas sur ce poinl de celui de la 
plupnrl des pavs. Li‘ gouvernement central fait les lois el les regleinrnls.
	        
Waiting...

Nutzerhinweis

Sehr geehrte Benutzerin, sehr geehrter Benutzer,

aufgrund der aktuellen Entwicklungen in der Webtechnologie, die im Goobi viewer verwendet wird, unterstützt die Software den von Ihnen verwendeten Browser nicht mehr.

Bitte benutzen Sie einen der folgenden Browser, um diese Seite korrekt darstellen zu können.

Vielen Dank für Ihr Verständnis.