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Volltext: France - Commission supérieure: Rapports - Exposition Universelle de Vienne en 1873, Tome IV

USTBCCTIOT »IVilKE ET ITSTKLCTIOT SEO»\l>llfcE SIS 
i ef prewjwr pm<mt 3 l*^ail*w»*ui «ntoai»** «MigsiiU<vm. 
-Hüil an «ouudbix*. fmmt Awuml rinsirwiion. imt an pojrtda- 
tkws [«or (jgVfe b won-fnt. Ara Ebt^Ls», <'**>1 PElal pariicuüer H 
non fEtal federal qm possede pooT«in. QwjqiKs gonvernetnent*, 
cotmne dan- I Arneriqu" dn Sad, onl langterops negiige de Iw^ifew sar 
cette matiere: leor instruction primaire #-*1 dans an" sifaation Ir<-—rri"- 
dioere. 
L’AngJeterre et qadques-unes de se« eoloniet laitsaienf la foridation 
ä rinitiatire privee, en *e eontentant «Tcanwng'f les eeaJes j«r de»- Sub 
vention*: ce n’e*l mdin" qua an" epoque awz recenle qae le Parlament 
aitglais s’esl penni* cette maniere dinier«eatioo. Le* resullat* de feasei- 
gnemenl prwtwre "n AngJelerre. brillant* *ur ou«lque* point*. bien in<’- 
gam suivanl* le* locaiiie*. aont reale* en summ" au-de**ou* de* *acrifice* 
pecuuiaire* ei de ia «ituation generale qu oeeupe dau* le monde uue «i 
»runde iiautm. Aiwhj iu nntwuie d* \ iciuria a-tt-eilU abundoirue oe ev«w»e 
km -naiu.1 'fieereulet iuuuunile*.. <el ’ Aujrl*rt*ntt'»-.. tue Üa&w <Öe o Mrjj<v etl jiti 
(nmann) de) Unreaiu: »fl-emte, t -»rnne lies noivurx IbenuK dl um* »itumn* 
qu elle nluirait «wjtes pas «ad du ennföror anttmÜiiifc Ton» les Etats ‘ivdises 
»aenordont dom: aujonrd’hiii ä eoiwiderer l’insiructinn populuire eenime 
une des fouctions souvernementelos.. 
Quand l’Etat ou les eommunes donnenl l’insfcruction primaire. les parti- 
culiers peuvent-ds ia donner aussi? II est certain que l’Etat fait a ceux-ci 
une concurrence contre laquelle il est difficile de lütter; ses deoles sont 
partout, et, dans la plupart des eommunes, il n’y a pas assez d’enfants 
pour qu’un instituteur libre vive a rote de l’institeur public; eiles sont en 
general mieux installees, gratuites ou peu coüteuses; ses maitres sont en 
general meilleurs, parce qu’il les paye mieux, ou parce qu’ä egaiite de 
traiternent on trouve qu’il y a plus de sdcuritdä elre le serviteur de l’Etat. 
Dans les pays ou les ecoles primaires publiques sont Ir&s-nombreuses, 
comme la Scandinavie, l’Allemagne, les Etats-Unis, les dcoles libres le 
sont trds-peu. 
Mais, s’il importe d’avoir partout des ecoles publiques, parce que c’cst 
le seul moyen d’ötre certain d’en avoir et surlout d’en avoir qui soient 
convenables, il faul bien se garder de fermer la porte a l’initiative privde; 
il ne sauraitjamaisy avoir trop d’dducateurs de la jeunesse. Acole des dcoles 
publiques et eommunes a tous les enfants, il est bon qu’il y ait place pour 
des ecoles dans lesquelles seront essaydes des methodes nouvclles, ou qui 
s’adresseront a certaines caldgories de personnes capahles de payer large 
ment les frais d’education, pour des dcoles ou confessionnclles ou laiques 
londees par les associations de bienfaisance ou par les associations reli- 
3.!
	        
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