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TABLE DES MATlfiRES.
CHAP. I. Nature du froment. — Com
positum »ln grain. Blös rouges et
bles blancs. — Da giuten et du pain
de giuten.
CHAP. II. Culture desgrains. — Bles da
pays et bles etrangers. — Terrains in-
cuites et maigres päturages. — Defri-
rhement par la vapeur.
CHAP. III. Netloyage des grains. —
Avantages d un bon netloyage. — Per-
lage. — Deeortiqueurs. — Netloyeur
dn System« Jeröme F r anqois.
CHAP. IV. Conservation des grains.
Bles en grenier et bles seches au so-
leil. — Nouveaux essais pour conser-
ver les grains. —Iastallation d’un gre-
mer de Conservation des blös.
CHAP, V. Commerce desgrains.—Apercu
general.
CHAP. VI. Meulerie et meunerie. — Des
meules. — De la consiruction des
m»‘ules. —De lataille des meules.
Rayonnement des meules. — Rha-
billage des meules. — Rhabilleur
mdeaniqne.
CHAP. VII. Bluteries.— Emploi rationnel
d s bluteries et dimensions generales.
— Bluiage ehaud, a la sortie des meu
les . —Blutage froid, transmission de
laboulange ä la bluterie. — Bluteries
composees. —Chaine ä godets.
CHAP. VIII. Semouleur mecanique.
Sasseurs mecaniques. —Resultats pre-
vnsd’nn sernouleur mecanique.
CHAP. IX. Usine ä farine. — Prdlimi-
naires de la deseription d’une usine a
farine. — Deseription de l’ensemble
dumoulin ä farine de M. P. Marmay.
— Projet d’eiablissemem de troi< pai-j
res de meules pouvant converlir en!
farine de 100 a 120 hectolitresde bld i
en vingt quatre heures. — Bluterie
du mouün a bie, du moulin ä gruau.!
— Semouleur mecanique.
CHAP. X. Commerce des grains et bou-
langerie. — Appreciations sur le com
merce actuel des farines. — Liberte
du commercj des grains. — Boulau-
gerie.
CHAP. XI. Taxe du pain. — Considera-
tioris genera es sur la taxe du pain.
CHAP. XII. Fours et pelrins. — Gruau !
de same. — Observations sur les fours |
et les pötrins. — Gruau de saute de
la fjbncation de P. Marrnay.
Annexe. — Falsiflcation du pain par le ^
carbmate de magnesie et e bicarbo-
nate de soude ; par le carbonate d ara-
moniaq e ; par le sulfate de cuivre ;
par le sulfate de ziuc ; par la terre de
pipe, la chaux, le pläire, etc.; par
le riz ; par la fecule de pomme de
terre; par la farine de haricots, de
riz de fe veröl es, etc. Falsiflcation
des farines. — E-'sai d< j s farines pour
constaier la quamite du giuten et sa
qualne. — Fbcule de pomme de terre
ajouiee ä la farine de ble. — Falsifl
cation de la farine par la feverole, le
mai's, le seigle, le haricot, etc. — Fa
rme con'enant de l’ivraie. — Falsifl
cation des farines avec des substauces
minerales.
Masselin (M. 0.), auteur de la serie de
prix de magonnerie adoptee par la
chambre syndicaie des entrepreneurs
de Paris et du d“partemeutde la Seine.
— Bictionnam raisonnA Pt formu-
laire du mAtrA et de la vArifieation
des travaux : terrasse, maconnerie,
earrelage, etc., I vol de 530 pages et
28 planches. 2g f r
En entreprenanf cetouvrage, M. Mas-
selin a voulu eviter les nombreuses
comradiciions que l'on rencoutresi sou-
vent dans les mernoires et qui pro-
viennent presque toujours de ce que
les seriös de prix sopt ambigues sur
certains points. Cet ouvrage appele
Dietionnaire, parce que les mots sont
classes par lettrealphabetique, esi donc
le commentaire raisonne, tantdes series
öe prix que des diverses opinions pre-
valant aojourd’hui chez les metreurs
les vörificateurset les arcbitectes en
renom. C’est donc ä tous ceux qui
s occupent du bäliment que cet ouvrage
a ete destine ils y puiseront d’utiles
et bons renseignemems.
Oppei.t (G.), professeur de Sciences com-
merciales,Chevalier de la Legion d'hon-
neur, ddcore de la croix du merite
de l’ordre de la bran.-he Ernestine
d- Saxp, etc., etc. - Traite gAnAral
theorlque et pratique de compta-
b'HtA commerciale, industrielle et
administrative, a l’llsare des COOl-
metganis et des institutions d instruc-
tion publique. Ouvrage adopte pour
I enseiguement professionnel.et publid
sous la riireciion d une societe d'an-
ciens juges consulaires. i vol. de
367 P - i fr.
II existe un si grand nombre d’ouvra<.es
sur la comptabilile, qu’on pourrait presque
aflirmer que lout a eie dit sur eelle nialiere.
Ce que M Oppelt a voulu, c’est de reunir en
un seul cadre tont ee que les meillcurs au-
teurs ont ecrit sur la comptabilite et ]a tenue
des livres, et de presenter un traite tel que
par sa clarte , sa concision et sa simplicite'
il puisse se distmguer des ouvrages de cette
nalure qui l’ont precede.
En coordonnant melhodiquenient son tra-
vail, M. Oppelt s’est surtout attacbe a deve-