Peinture. 
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501 Le tiieätre au xiv e siegle. 
MONGINOT, Charles, ne ä Brienne (Aube); eleve 
de M. Couture; Med. 1864 et 1868. Paris, nie 
d’Assas, Cite Vavin, 84. 
502 l Jn puits. 
503 Paon se mirant. 
MONZIES, Louis, Paris, nie Domballe, 6. 
504 PEINTRE DANS SON ATELIER. 
MORTEMART, baronEnguerrand de, ne äParis; 
eleve d’Alfred et de Tony Johannot. Paris, rue 
Jean Goujon, 9. 
505 Le rüisseau de la merlette (Seine-et-Marne). 
(Appartient a l’Etat.) 
MOUILLON, Alfred, ne a Paris; eleve de M. 
Delestre; Paris, rue d’Assas, 84. 
506 Les bles. 
(Appartient a M. Hoscliede.) 
507 Le chemin de sable. 
MÜLLER, Charles Louis, ne a Paris. Med. de 
3 e cl. 1838; 2 e el. 1846; l e el. 1848; Chevalier 
de la Legion d’honneur 1849; med. de l e cl. 
1855; Officier de la Legion d'honneur 1859; 
Membre de lTnstitut 1864. Rue de Naples, 61. 
508 PeTITE SULTANE. 
509 Lanjuinais ä la tribune (2 Juin 1793). 
„Ou allait admettre de nouveaux petitionnaires de la Commune. 
„Je demande la parole, dit Lanjuinais, sur la generale que Ton 
bat dans Paris.“ „Ä. bas, a bas, s’ecrie la Montagne, on veut 
nous amener la guerre civile.“ 
Lanjuinais continue: „Tant qu’il sera permis de faire 
„entendre ici sa voix je ne laisserai pas avilir, dans ma per- 
„sonne, le caract^re de representant du peuple. On m’accuse 
„de calomnier Paris: non, non: Paris est pur, mais Paris est 
„opprime par des tyrans qui veulent du sang et de la domination.“ 
A ces mots la fureur des Montagnards se d^chaine, Chabot, 
Drouet, Robespierre jeune, Turreau et d’autres s’^lancent sur 
T^anjuinais et veulent le precipiter de la tribune. Legendre Iui 
applique son pistoletsur lagorge. Defermon, Parbaroux, P6nieres,