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moins, ne se seraient offertes aussi favorables. Nos ateliers 
sont a tout moment ouverts a l’examen et ä l’etude, sans 
qu’il soit permis de cacher aucun procede utile ou metbode 
avantageuse ii nos travaux; la divulgation facile et l’en- 
seignement soigne en sont au contraire recommandes par 
les reglements. Tout cela, joint ä la maniere dont nos 
ouvriers sont consideres et a l’ordre scrupuleux qui 
regne dans toutes les dependances de l’etablissement, 
demontre jusqu’aux personnes les plus defavorablement 
prevenues, que l’Imprimerie nationale de Lisbonne, 
sous les auspices du gouYernement de Sa Majeste Tres- 
Fidele, et dirigee par une administration pleine de zele, 
n’a pas trabi son devoir dans la mission civilisatrice 
que lui traga son grand fondateur. 
Nous ne voulons pas dire cependant que ce notable 
etablissemcnt soit arrive au comble de la perfection; et 
certainement les triomphes qu’il a dejb remportes dans 
les expositions universelles de Londres et Paris, en 
1862 et 1867, et dans eelle internationale de Oporto 
en 1865, oü ses produits furent exhibes, ainsi que les 
eloges que ceux-ci ont xnerite d’autorites tres respecta- 
bles en France, en Angleterre, en Allemagne, en Au- 
triche, en Italie, en Espagne, dans l’empire du Bresil, 
dans le pays meme, ne sont que de nobles motifs pour 
inciter puissamment le zele de l’administration. 
On a incontestablement avance bien de pas, mais 
lTmprimerie nationale de Lisbonne voit s’ouvrir encore